Je vous recommande cet excellent article de Fabrice Epelboin, sur l'offensive web 2.0 mené par Greenpeace contre Nestlé et sur les raisons de la piètre réponse de Nestlé.
Le cybermilitantisme a atteint des niveaux de professionnalisme exceptionnels. Les réponses des marques vont devoir se porter au même niveau. Une question en filigrane : vont-elles pouvoir rester les mêmes sur ce nouveau terrain, ou vont-elles devoir revoir en profondeur leur identité, leur communication et leurs relations avec les publics ?
Libellés
Administration libérée
(2)
Afrique
(2)
analyse de l'opinion
(2)
Animation
(1)
Apple
(1)
Banques
(3)
Big data
(15)
Biotechnologies
(3)
Cap digital
(19)
Chine
(3)
Communication
(7)
Communs
(4)
Covid19
(2)
Culture
(5)
DataRevolution
(15)
Design
(3)
développement durable
(3)
DINSIC
(3)
Données publiques
(2)
Droit
(1)
Droits de l'homme
(2)
Economie
(19)
Education
(15)
Elon Musk
(1)
Energie
(1)
Entreprise
(11)
Etalab
(6)
Etat-plateforme
(5)
Etats-Unis
(11)
Facebook
(7)
Fiscalité
(2)
France
(2)
Futur
(3)
Futur en Seine
(3)
Google
(5)
Grand emprunt
(5)
Industrie
(6)
Innovation
(24)
Internet
(6)
Internet des objets
(2)
Israël
(1)
Japon
(4)
jeu vidéo
(3)
Liberté d'Internet
(2)
Logiciel Libre
(1)
Media
(2)
Metropole parisienne
(8)
MFG-Labs
(3)
Multitude
(3)
Netneutralité
(5)
OGP
(4)
Open data
(16)
Open government
(8)
Philosophie
(4)
PLF2013
(6)
Pôles de compétitivité
(4)
privacy
(4)
Psychologie
(1)
Publicité
(1)
Puissance publique
(5)
Quantified Self
(2)
Robotique
(4)
Santé
(3)
Science
(1)
Silicon Valley
(3)
Smart disclosure
(2)
société numérique
(38)
Sociologie
(1)
Stratégie
(9)
Télévision
(2)
UK
(1)
Web social
(7)