Dans la mythologie grecque, le messager des dieux et dieu des messagers est Hermès, dieu des voleurs, dieu du commerce, gardien des routes et des carrefours, des voyageurs, des voleurs, de la chance, conducteur des âmes aux Enfers. On a perdu la splendeur du monothéisme et sa profondeur ontologique pour atteindre les rives de l'ambiguïté, de la polysémie, de la pluralité des sens.
Libellés
Administration libérée
(2)
Afrique
(2)
analyse de l'opinion
(2)
Animation
(1)
Apple
(1)
Banques
(3)
Big data
(15)
Biotechnologies
(3)
Cap digital
(19)
Chine
(3)
Communication
(7)
Communs
(4)
Covid19
(2)
Culture
(5)
DataRevolution
(15)
Design
(3)
développement durable
(3)
DINSIC
(3)
Données publiques
(2)
Droit
(1)
Droits de l'homme
(2)
Economie
(19)
Education
(15)
Elon Musk
(1)
Energie
(1)
Entreprise
(11)
Etalab
(6)
Etat-plateforme
(5)
Etats-Unis
(11)
Facebook
(7)
Fiscalité
(2)
France
(2)
Futur
(3)
Futur en Seine
(3)
Google
(5)
Grand emprunt
(5)
Industrie
(6)
Innovation
(24)
Internet
(6)
Internet des objets
(2)
Israël
(1)
Japon
(4)
jeu vidéo
(3)
Liberté d'Internet
(2)
Logiciel Libre
(1)
Media
(2)
Metropole parisienne
(8)
MFG-Labs
(3)
Multitude
(3)
Netneutralité
(5)
OGP
(4)
Open data
(16)
Open government
(8)
Philosophie
(4)
PLF2013
(6)
Pôles de compétitivité
(4)
privacy
(4)
Psychologie
(1)
Publicité
(1)
Puissance publique
(5)
Quantified Self
(2)
Robotique
(4)
Santé
(3)
Science
(1)
Silicon Valley
(3)
Smart disclosure
(2)
société numérique
(38)
Sociologie
(1)
Stratégie
(9)
Télévision
(2)
UK
(1)
Web social
(7)
dimanche, décembre 27, 2009
Immanence du message
Au commencement, le messager était un Malakh, ce que nous appellerions aujourd'hui un ange. Dans la littérature rabbinique ou kabbaliste, ce messager est une quasi émanation de Dieu, l'incarnation d'une parole ou d'une idée, une colonne mystique et matérielle à la fois qui relie l'insondable et le monde des hommes.
Inscription à :
Articles (Atom)