Qu'on ne s'y trompe pas : c'est une lutte à mort qui s'est engagée entre les tenants du web classique, plat, hypertexte, algorithmique et hiérarchisé par le "pagerank" de Google, et les tenants d'un web social, centré sur l'utilisateur et son réseau relationnel, mû par la recommandation et la propagation virale.
Libellés
Administration libérée
(2)
Afrique
(2)
analyse de l'opinion
(2)
Animation
(1)
Apple
(1)
Banques
(3)
Big data
(15)
Biotechnologies
(3)
Cap digital
(19)
Chine
(3)
Communication
(7)
Communs
(4)
Covid19
(2)
Culture
(5)
DataRevolution
(15)
Design
(3)
développement durable
(3)
DINSIC
(3)
Données publiques
(2)
Droit
(1)
Droits de l'homme
(2)
Economie
(19)
Education
(15)
Elon Musk
(1)
Energie
(1)
Entreprise
(11)
Etalab
(6)
Etat-plateforme
(5)
Etats-Unis
(11)
Facebook
(7)
Fiscalité
(2)
France
(2)
Futur
(3)
Futur en Seine
(3)
Google
(5)
Grand emprunt
(5)
Industrie
(6)
Innovation
(24)
Internet
(6)
Internet des objets
(2)
Israël
(1)
Japon
(4)
jeu vidéo
(3)
Liberté d'Internet
(2)
Logiciel Libre
(1)
Media
(2)
Metropole parisienne
(8)
MFG-Labs
(3)
Multitude
(3)
Netneutralité
(5)
OGP
(4)
Open data
(16)
Open government
(8)
Philosophie
(4)
PLF2013
(6)
Pôles de compétitivité
(4)
privacy
(4)
Psychologie
(1)
Publicité
(1)
Puissance publique
(5)
Quantified Self
(2)
Robotique
(4)
Santé
(3)
Science
(1)
Silicon Valley
(3)
Smart disclosure
(2)
société numérique
(38)
Sociologie
(1)
Stratégie
(9)
Télévision
(2)
UK
(1)
Web social
(7)
dimanche, janvier 03, 2010
Classes sociales ou propagations virales ?
Qu'on ne s'y trompe pas : c'est une lutte à mort qui s'est engagée entre les tenants du web classique, plat, hypertexte, algorithmique et hiérarchisé par le "pagerank" de Google, et les tenants d'un web social, centré sur l'utilisateur et son réseau relationnel, mû par la recommandation et la propagation virale.
Inscription à :
Articles (Atom)