De retour en France, je peux reprendre mes notes sur le voyage d’étude en Corée et en Chine, interrompues par le fait que Blogger était inaccessible de Chine. Tout comme Facebook, Twitter, Google.com et de nombreuses pages de Wikipédia. Seesmic ou Foursquare, eux, étaient fonctionnels.
L’atterrissage à Paris procure donc le sentiment, non seulement de revenir à la maison, mais aussi de pouvoir enfin se reconnecter à l’Internet mondial et à ce réseau d’informations et d’amis avec qui nous avons pris l’habitude d’être en conversation permanente.
Ce n’est pas tant Internet qui est interdit en Chine, mais plutôt l’Internet occidental. Nos informations sensibles, certes, y sont censurées. Mais j’ai plutôt l’impression que c’est la puissance économique des grandes plate-formes de valeur (Google, Facebook, Twitter), des jeux massivement multijoueurs, de l’Internet en général qui est stoppée ou rognée, copiée, adaptée et déployée en Chine.
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jeudi, juillet 15, 2010
vendredi, juillet 09, 2010
Songdo City : le numérique en Corée, c'est de l'investissement lourd !
J'ai donc rejoint le voyage d'étude de l'Institut Télécom en Corée avant que nous ne partions dimanche vers Shanghai.
L'arrivée en Corée, quelques semaines après une visite similaire au Japon, est passionnante. Sur le papier, on pourrait attendre une situation assez similaire : un pays qui a assis sa prospérité sur l'électronique grand public, qui a peu de ressources naturelles (elles sont en Corée du Nord), qui a une natalité en berne (moins d'un enfant par femme, pire qu'au Japon), qui doit faire face à d'importants changements dans la mondialisation...
Et pourtant, l'ambiance est toute autre. Alors que j'avais trouvé un Japon esthétisant un peu refermé sur lui même, un peu mélancolique, attaché à défendre et préserver sa culture, on trouve ici un pays industrieux, confiant, et qui vise l'investissement et la croissance...
L'arrivée en Corée, quelques semaines après une visite similaire au Japon, est passionnante. Sur le papier, on pourrait attendre une situation assez similaire : un pays qui a assis sa prospérité sur l'électronique grand public, qui a peu de ressources naturelles (elles sont en Corée du Nord), qui a une natalité en berne (moins d'un enfant par femme, pire qu'au Japon), qui doit faire face à d'importants changements dans la mondialisation...
Et pourtant, l'ambiance est toute autre. Alors que j'avais trouvé un Japon esthétisant un peu refermé sur lui même, un peu mélancolique, attaché à défendre et préserver sa culture, on trouve ici un pays industrieux, confiant, et qui vise l'investissement et la croissance...
jeudi, juillet 08, 2010
Quelques remarques sur les données publiques (#opendata)
J'ai profité cette nuit du du vol vers Séoul pour essayer de mettre au clair quelques idées sur les données publiques.
J’ai en effet été invité récemment à une conférence organisée par l’APIE, ou j’ai présenté quelques idées qui me semblaient de bon sens... Cependant, les réactions du public, et quelques tentatives de twittclash, m’ont montré que, finalement, tout le monde n’était pas sur la même longueur d’ondes.
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