Jean-Michel Fourgous a remis ce matin son rapport sur l'école numérique (téléchargeable ici).
Honnêtement, c'est un travail considérable, qui pose des éléments de diagnostic complets, documentés, chiffrés et sourcés (ce qui est quand même rare !) et propose des pistes nombreuses et pour certaines extrêmement prometteuses.
Il détaille en particulier le potentiel du numérique en abordant les cas particuliers disciplinaires et en n'oubliant pas les questions d'intégration, d'autonomie, de construction de soi.
Il propose un ensemble de mesures (70) en n'oubliant ni l'infrastructures, ni la gouvernance, ni même de mentionner le besoin d'ouverture et de créativité et ne craint pas d'aborder certaines questions liées au droit d'auteur ou à la fiscalité.
Il y a donc un énorme travail et de bonnes pistes.
Je n'en n'ai pas moins le sentiment que l'on risque quand même de passer à côté de l'essentiel.
Libellés
Administration libérée
(2)
Afrique
(2)
analyse de l'opinion
(2)
Animation
(1)
Apple
(1)
Banques
(3)
Big data
(15)
Biotechnologies
(3)
Cap digital
(19)
Chine
(3)
Communication
(7)
Communs
(4)
Covid19
(2)
Culture
(5)
DataRevolution
(15)
Design
(3)
développement durable
(3)
DINSIC
(3)
Données publiques
(2)
Droit
(1)
Droits de l'homme
(2)
Economie
(19)
Education
(15)
Elon Musk
(1)
Energie
(1)
Entreprise
(11)
Etalab
(6)
Etat-plateforme
(5)
Etats-Unis
(11)
Facebook
(7)
Fiscalité
(2)
France
(2)
Futur
(3)
Futur en Seine
(3)
Google
(5)
Grand emprunt
(5)
Industrie
(6)
Innovation
(24)
Internet
(6)
Internet des objets
(2)
Israël
(1)
Japon
(4)
jeu vidéo
(3)
Liberté d'Internet
(2)
Logiciel Libre
(1)
Media
(2)
Metropole parisienne
(8)
MFG-Labs
(3)
Multitude
(3)
Netneutralité
(5)
OGP
(4)
Open data
(16)
Open government
(8)
Philosophie
(4)
PLF2013
(6)
Pôles de compétitivité
(4)
privacy
(4)
Psychologie
(1)
Publicité
(1)
Puissance publique
(5)
Quantified Self
(2)
Robotique
(4)
Santé
(3)
Science
(1)
Silicon Valley
(3)
Smart disclosure
(2)
société numérique
(38)
Sociologie
(1)
Stratégie
(9)
Télévision
(2)
UK
(1)
Web social
(7)